À propos

La Fripe des couteaux : Notre Histoire

Afin de bien comprendre la genèse de La fripe des couteaux, il faut comprendre l’histoire de SV joaillier. Depuis 1988, la boutique s’est spécialisée dans le travail de joaillerie. Au fil des ans, elle s’est bâtie une solide réputation basée sur un travail de haute qualité. Cette rigueur, aussi accompagnée d’une transparence et d’une grande honnêteté, lui vaudra une confiance aveugle de la part de ses
clients.

L’histoire de La Fripe des couteaux a débuté lorsqu’un membre de la boutique s’est rendu dans un atelier pour faire affûter ses propres couteaux de cuisine. À son retour à la maison, il a été déçu du travail effectué sur ses lames. Elles étaient plus dentelées que tranchantes et la géométrie de celles-ci avait changée. C’est à ce moment que l’on comprend que la minutie exigée en joaillerie pourrait être appliquée au travail des couteaux – la remise à neuf et l’affûtage. Après un apprentissage intensif sur l’utilisation des pierres japonaises, nous arrivons aujourd’hui à affûter une grande quantité de couteaux quotidiennement.

La fripe des couteaux est aujourd’hui une entreprise familiale de 3ème génération qui poursuit sa croissance avec des d’artisans locaux. Tout comme nous l’avons appris des gens qui nous ont précédés, nous faisons tout en notre pouvoir pour transférer l’intérêt du travail bien fait aux générations suivantes!

Afin de rendre ses services d’affûtage plus accessibles, La fripe des couteaux s’est associée avec plusieurs commerces dispersés dans différents quartiers de Montréal et de ses environs. Vous pourrez y déposer vos couteaux et les récupérer une fois affûté la semaine suivante. Pour voir les points de service consultez l’onglet contact.

Il peut sembler curieux qu’un bijoutier affûte des couteaux, mais les deux métiers ne sont pas aussi éloignés que l’on pense. Dans les deux cas, on parle d’un travail artisanal méticuleux qui requiert beaucoup d’amour et de respect de la matière. Redonner de la valeur à un objet mal aimé est un talent très rare et peu valorisé de nos jours. C’était notre mission première à l’époque et ça l’est toujours aujourd’hui : prouver qu’être éco-responsable, par le réemploi, n’est pas un sacrifice personnel, mais plutôt un acte sensé.